





En 1864, ce sont deux chalets identiques qui sont édifiés de part et d’autre du pont, selon les plans de l’ingénieur Jean-François Radoult de La Fosse, dans le style des fabriques (petits ouvrages de fantaisie) des parcs parisiens de la même époque.
Leur construction est confiée aux entrepreneurs parisiens Waaser et Madin, spécialistes des bois découpés. L’un était réservé au logement du garde du parc, l’autre à l’administration.
Parfois improprement appelé « chalet des suppliques », le pavillon subsistant n’a jamais reçu les demandes de secours adressées à l’empereur durant ses cures à Vichy, une boîte aux lettres ayant été installée à cet effet, d’abord à l’hôtel des Thermes (voisin de la villa Strauss où logeait Napoléon III), puis à la mairie. En revanche il fut occupé par l’octroi (où l’on percevait la taxe sur les marchandises entrant dans la ville, hors produits de première nécessité) de 1885 à 1932. Le second chalet fut détruit lors de l’élargissement du pont en 1935.
Parfois improprement appelé « chalet des suppliques », le pavillon subsistant n’a jamais reçu les demandes de secours adressées à l’empereur durant ses cures à Vichy, une boîte aux lettres ayant été installée à cet effet, d’abord à l’hôtel des Thermes (voisin de la villa Strauss où logeait Napoléon III), puis à la mairie. En revanche il fut occupé par l’octroi (où l’on percevait la taxe sur les marchandises entrant dans la ville, hors produits de première nécessité) de 1885 à 1932. Le second chalet fut détruit lors de l’élargissement du pont en 1935.
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