Canoë sur l'AllierCanoë sur l'Allier entre Vichy et Billy.
©Canoë sur l'Allier entre Vichy et Billy.|Cindy Michaud
Eau fil de l'Allier

Canoë et VTT

A pied, à vélo ou en canoë : l’Allier s’offre à vous ! En suivant la voie verte et les berges, ou en empruntant le cours d’eau lui-même, à l’heure du multimodal quoi de mieux pour découvrir l’une des dernières grandes rivières sauvages d’Europe.

VTT en Montagne Bourbonnaise

VTT en Montagne bourbonnaise
VTT en Montagne bourbonnaise
VTT en Montagne bourbonnaise
Voir dans la rivière

son alliée

Une rivière c’est comme des escaliers : toujours plus facile à descendre qu’à remonter ! 

C’est d’ailleurs la raison pour laquelle les activités mixtes canoë et VTT sont si complémentaires. À l’avalaison, c’est le haut du corps qui travaille. Et vers l’amont ? Hop hop hop, on travaille le bas du corps !


Direction

Vichy à Saint-Yorre

À partir de la plage des Célestins, remontez à vélo la via Allier jusqu’à Saint-Yorre pendant une dizaine de kilomètres, puis embarquez à bord d’un canoë pour redescendre à votre point de départ. Comptez environ 1h30 pour cette section de la descente.

Sur votre trajet vous profiterez d’un point de vue unique sur la côte Saint-Amand, vous pourrez approcher la boire Talon ou longer la presqu’île de la Croix-Saint-Martin.

Direction

Vichy à Billy

Embarquez sur la base de Vichy Aventure au pied du pont-barrage et vogue le canoë ! 13 kilomètres et 2 heures plus tard… vous débarquez à Billy. Le temps de souffler un peu, d’immortaliser votre exploit avec la célèbre Forteresse de Billy en arrière-plan et vous enfourchez les VTT pour entamer le retour vers votre point de départ.

L'Allier

Une des dernières grandes rivières sauvage d’Europe

Pourquoi sauvage ? Parce qu’entre Vichy et Moulins, la folle Allier divague dans la plaine alluvionnaire. Elle change de cours, abandonne son lit, torture ses méandres, grignote ses berges et crée des boires jusqu’à ce que des bras morts lui en tombent. Elle fait aussi un peu de dédoublement avec l’alter ego souterrain que constitue sa nappe alluvionnaire. Elle roule ses galets dans la plaine, dépose ici des alluvions arrachées là et accueille dans son sillage une étonnante biodiversité nourrie logée.

Sous le coup de ses sautes d’humeur, le débit de l’eau varie aussi : de 20 m3 par seconde au plus petit étiage, elle sait monter en crue, jusqu’à 5 000 m3 par seconde à Moulins en 1790 (estimation).

 

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