

Le stade équestre, aménagé en 1887, est le fruit de la collaboration entre la Société Hippique Française, le Cercle International et la Ville de Vichy, qui ont probablement imposé chacun leur architecte.
Soit respectivement : Albert Thomas pour le plan d’aménagement, Henri Despierre pour les tribunes (1 800 places), écuries et bureaux et, dix ans plus tard, Henri Décoret pour le pavillon d’entrée.
Le stade sera régulièrement l’objet d’améliorations, avec notamment la construction d’une vaste halle de 136 boxes en 1988, d’un pavillon de réception en 1999, à l’occasion de la rénovation de l’ensemble des installations, puis, en 2022, le remplacement de la piste en herbe par une piste en sable fibré qui permet d’accueillir des compétitions sur une plus longue période et à un rythme plus soutenu.
Depuis 1887, le stade accueille des concours hippiques de prestige comme des épreuves préolympiques ; mais il a également été le cadre de manifestations très diverses comme des corridas, des courses cyclistes ou autres grandes fêtes populaires. Il a aussi connu des heures plus sombres avec l’accueil de 30 000 réfugiés en 1940 puis l’emprisonnement de 753 personnes arrêtées par le Comité de Libération lors de l’épuration en 1944.
Vichy accueille aujourd’hui le plus ancien concours de saut d’obstacles en France.
Le stade sera régulièrement l’objet d’améliorations, avec notamment la construction d’une vaste halle de 136 boxes en 1988, d’un pavillon de réception en 1999, à l’occasion de la rénovation de l’ensemble des installations, puis, en 2022, le remplacement de la piste en herbe par une piste en sable fibré qui permet d’accueillir des compétitions sur une plus longue période et à un rythme plus soutenu.
Depuis 1887, le stade accueille des concours hippiques de prestige comme des épreuves préolympiques ; mais il a également été le cadre de manifestations très diverses comme des corridas, des courses cyclistes ou autres grandes fêtes populaires. Il a aussi connu des heures plus sombres avec l’accueil de 30 000 réfugiés en 1940 puis l’emprisonnement de 753 personnes arrêtées par le Comité de Libération lors de l’épuration en 1944.
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