Madame de Sévigné, souffrant de rhumatismes qui l’empêchaient d’écrire, séjourna à Vichy en 1676 et 1677.
D’abord éprouvée par les soins, elle dut en reconnaître les effets bénéfiques et fut parmi les premières personnalités à vanter, dans ses lettres, l’efficacité des eaux de Vichy et les charmes de la localité.
Cette maison est encore aujourd’hui l’objet d’une controverse historique : la marquise de Sévigné l’a-t-elle habitée ou non ? Selon certains, ce serait un simple coup commercial de la propriétaire du pavillon qui, en 1838, avait apposé une plaque de marbre laissant entendre que la marquise y avait logé. D’autres affirment qu’elle serait descendue au Logis du Cheval Blanc (5 square Albert 1er) ou à la maison Badoche (2 rue de l’Église). Les arguments produits deux siècles après sa venue et la localisation de son logis n’étant pas précisée dans ses écrits, rien ne permet de trancher.
Ce pavillon avait été édifié au début du XVIIe siècle par François Gravier et fut agrandi une première fois vers 1865. Il sera complètement transformé par Jean Girette en 1910 pour devenir, sous la direction de Joseph Aletti, un hôtel de 1ère catégorie offrant 70 chambres. Habitation de Philippe Pétain pendant la Seconde Guerre mondiale, l’hôtel fut transformé en résidence de prestige en 1995.
Cette maison est encore aujourd’hui l’objet d’une controverse historique : la marquise de Sévigné l’a-t-elle habitée ou non ? Selon certains, ce serait un simple coup commercial de la propriétaire du pavillon qui, en 1838, avait apposé une plaque de marbre laissant entendre que la marquise y avait logé. D’autres affirment qu’elle serait descendue au Logis du Cheval Blanc (5 square Albert 1er) ou à la maison Badoche (2 rue de l’Église). Les arguments produits deux siècles après sa venue et la localisation de son logis n’étant pas précisée dans ses écrits, rien ne permet de trancher.
Ce pavillon avait été édifié au début du XVIIe siècle par François Gravier et fut agrandi une première fois vers 1865. Il sera complètement transformé par Jean Girette en 1910 pour devenir, sous la direction de Joseph Aletti, un hôtel de 1ère catégorie offrant 70 chambres. Habitation de Philippe Pétain pendant la Seconde Guerre mondiale, l’hôtel fut transformé en résidence de prestige en 1995.
