

Dernier des grands palaces édifiés à Vichy, le Ruhl était aussi le plus grand et le plus luxueux (350 chambres et 300 salles de bains).
Sur son emplacement, se trouvait la mairie offerte par Napoléon III en 1865 qui, au début du XXe siècle, s’est avérée trop étroite. L’architecte Antoine Chanet entreprend la construction de l’hôtel dès 1910 mais le projet est interrompu un an plus tard. Il est alors repris par Henri Ruhl, hôtelier déjà propriétaire de plusieurs palaces à Paris et dans diverses stations balnéaires.
Idéalement placé, entre les deux parcs, il occupe un quadrilatère bordé de rues : son aspect monumental se trouve renforcé par cette absence de mitoyenneté, mais aussi par une opulente décoration sculptée. En son centre, est placée une vaste salle de restaurant de style Louis XVI couverte d’une verrière.
Le Ruhl ouvre ses portes en 1913 mais est bientôt converti en hôpital militaire temporaire. En 1922, il est racheté par Joseph Aletti qui le rebaptise hôtel Radio, ce qui lui permet de conserver le monogramme « HR » sur le linge et la vaisselle.
Réquisitionné en 1940, il est transformé en résidence à la Libération.
Idéalement placé, entre les deux parcs, il occupe un quadrilatère bordé de rues : son aspect monumental se trouve renforcé par cette absence de mitoyenneté, mais aussi par une opulente décoration sculptée. En son centre, est placée une vaste salle de restaurant de style Louis XVI couverte d’une verrière.
Le Ruhl ouvre ses portes en 1913 mais est bientôt converti en hôpital militaire temporaire. En 1922, il est racheté par Joseph Aletti qui le rebaptise hôtel Radio, ce qui lui permet de conserver le monogramme « HR » sur le linge et la vaisselle.
Réquisitionné en 1940, il est transformé en résidence à la Libération.
Tarifs
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En accès libre
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Visible de l'extérieur uniquement. Propriété privée.